Inspirations du moment – Début 2023

Comment dire STOP à son mental?

Et se laisser porter par la vie

Dans notre vie de tous les jours, notre mental nous aide à planifier, à avoir des objectifs et à nous projeter en avant.

Cela est très utile dans notre vie matérielle, cependant cela peut être bloquant quand la visualisation du futur que nous avons est négative.

Le propre de notre mental est de repérer le danger et de nous prévenir quand une situation est mauvaise pour nous.

Le problème est que le mental voit du danger dès que la situation change. Le mental aime la routine. Il est le roi du train-train et de l’homéostasie.

Il va donc se mettre en alerte dès que nous tentons de faire quelque chose de nouveau ou de différent.

Pour ne pas être perturbée par ses alertes et opérer des changements dans notre vie, il est important d’apprendre à s’écouter.

Votre intuition est votre meilleure amie contre votre mental.

Apprenez à suivre votre première pensée et à lui faire confiance.

Intuitivement vous avez toutes les réponses. La seconde voix est celle du mental. Votre mental est celui qui va vous dire que :

  • « ce n’est pas raisonnable »
  • « ce n’est pas le bon moment »
  • ou encore « c’est le choix le plus sûr »

Alors que votre intuition vous :

  • parle avec le cœur,
  • pousse à vous dépasser pour votre bien-être et non celui des autres,
  • lance des défis qui vous font sentir des papillons dans le ventre.

Osez suivre votre premier élan et faites taire le second.

Le second élan vous poussera toujours à rester là où vous êtes. Alors que le premier veut que vous viviez votre meilleure vie.

Tu veux une vie différente?

Commence par te changer et le reste suivra.

Besoin d’aide pour te changer, retrouve mes accompagnements ici.

Belle journée et prends soin de toi.

Dépasse tes peurs

Et retrouve ton pouvoir

La peur est une chose qui peut être paralysante et nous empêcher de vivre la vie qui nous correspond.

Selon la définition du Larousse, la peur est un « sentiment d’angoisse éprouvé en présence ou à la pensée d’un danger, réel ou supposé, d’une menace ».

Il existe donc deux possibilités. La peur est déclenchée :

  • soit par un danger réel et observé
  • soit par une simple pensée

Dans le cas où le danger est réel et observé comme à la vue d’un tigre, il est bon d’éprouver cette peur pour s’enfuir (bien que cela pourrait être envisagé sous une autre perspective, cela fera peut-être l’objet d’un autre article). Nous allons donc mettre de côté cette possibilité.

En revanche, lorsque la peur est déclenchée par une pensée, nous pouvons reprendre les rênes et décider de la direction à prendre.

Nos pensées sont comme un dialogue intérieur dont nous sommes le chef d’orchestre.

A chaque instant, nous pouvons décider de jouer une symphonie de drame ou au contraire une Ode à la joie comme Beethoven.

Nous sommes le maître de nos pensées et nous avons le pouvoir de choisir dans quelle direction nos pensées vont aller à chaque instant.

Je vais te partager deux méthodes que j’ai expérimentées récemment.

La première consiste à modifier ce dialogue intérieur.

Je ne sais pas si tu as remarqué mais quand nous avons peur, nous nous répétons certaines phrases comme:

  • « il est vraiment trop près du bord, il va tomber »
  • ou « je suis seule dans cette rue et si quelqu’un venait m’agresser »
  • ou encore « cette présentation va être une catastrophe, ils vont me poser des questions auxquelles je serais incapable de répondre »

Toutes ces phrases ne sont que des pensées, je dirais même des illusions. Nous nous faisons un scénario catastrophe de ce qui va se passer. Je tiens d’ailleurs à nous féliciter tous car nous sommes chacun d’excellents scénaristes pour … « des films catastrophes ».

Ce que je te propose est que la prochaine fois que ça arrive, tu te répètes le scénario inverse. Ceci donnerait :

Dans le même ordre d’idée, j’ai remarqué que quand j’ai peur, j’ai tendance à me le répéter intérieurement « j’ai peur, j’ai peur, j’ai peur ».

Cela ne fait que renforcer cette peur.

Alors à la place, maintenant je dis « je suis sereine, je suis dans la joie » et immédiatement le cœur reprend un rythme plus doux et je me calme.

La seconde astuce est de se projeter un peu plus loin dans l’avenir.

Par exemple, tu es en voiture et tu as peur de rouler sur l’autoroute ou dans une grande ville dans laquelle tu as besoin de passer.

Projette-toi quelques heures plus tard, tu es bien installée dans un canapé en train de boire un verre et tu racontes à ta famille, à tes amis comme ton trajet s’est bien passé. Tu te visualises dans la joie et fière d’avoir réalisé ce trajet comme une pro.

A toi d’adapter en fonction de ta peur bien-sûr. L’idée est de te visualiser au delà de ce moment que tu redoutes fière de ta réussite et en parfaite santé.

Ces quelques conseils pourront t’aider sur des peurs identifiables facilement. Cependant si tu ne parviens pas à repérer la raison de ton blocage, il peut être bien de te faire accompagner pour enfin retrouver une vie plus légère. Tu peux retrouver mon accompagnement phare juste ici.

Souviens-toi que tu es la seule maître à bord dans ton navire et que tu fais le choix de ce qui occupe tes pensées.

Belle journée et prends soin de toi.

Être simplement soi

Pas si simple, en fait

J’entends souvent ce conseil et plus particulièrement dans le milieu de la spiritualité : « Sois simplement toi »

Si c’était si simple, je le ferais déjà. Merci pour ce bon conseil. Pour vous éviter certaines frustrations que j’ai pu avoir, je vais tenter de vous donner des clés.

Selon moi, ce conseil lève deux questions :

  • Qui suis-je MOI?
  • Comment arrêter de FAIRE pour simplement ÊTRE?

Alors je vais dissiper le doute tout de suite. La réponse à ces deux questions, je ne la connais pas. Nous sommes dans les fondements métaphysiques et beaucoup de personnes cherchent encore la réponse.

Cependant je vais te partager ce qui m’aide chaque jour à me rapprocher du fait « d’être simplement moi ».

La première clé est de se détacher du regard des autres.

L’une des choses qui nous empêchent d’être nous est notre désir de conformité, de plaire aux autres, d’être aimé, de ne pas être seule.

Seule dans notre grotte, nous aurions beaucoup plus de facilité à être nous-mêmes.

Vu que l’idée de vivre dans ma grotte seule et tout le temps ne me réjouit pas, j’ai une astuce.

Quand je me lance dans une nouvelle activité ou que j’hésite à faire quelque chose, j’imagine que personne ne sera au courant de ce que j’ai envie de faire et je vois comment cela résonne en moi :

  • Si la réponse est « oui, je le ferai » : Je me demande « qu’est-ce qui me bloque aujourd’hui? » et je cherche une solution pour lever ce blocage.
  • Si la réponse est « non, de toute façon »: je sais que je ne suis pas bloquée par le regard des autres. Je cherche alors du côté de mes peurs.

La seconde clé est d’accepter le vide.

J’avais (et j’ai même encore parfois) tendance à remplir mes journées de 7h le matin à 21h le soir. Cela permet de ne pas s’ennuyer, c’est certain.

En revanche, on finit par s’épuiser et perdre de vue ce qui nous anime, ce qui nous fait vibrer, la raison de toute cette activité.

Pour remettre les pendules à l’heure, je me prends 15 minutes par jour où je ne fais rien, vraiment RIEN.

La méditation peut être une solution, si cela te tente. Mais si ce n’est pas ta tasse de thé, assis-toi face à la Nature, près d’un arbre ou sur un banc et contente-toi de ne rien faire. Tu n’as aucun objectif, si ce n’est d’être là.

Cela pourra te paraître au début un peu inconfortable (peut-être un besoin de ne jamais être seule, de ne pas faire face à tes pensées et tes ressentis). Mais une fois ces débuts dépassés, tu ressentiras un bien-être intérieur, une détente. Tu te rendras compte que certaines parties de ton corps étaient en tension et qu’elles sont maintenant détendues.

Un autre exercice pour ÊTRE sans FAIRE, entraîne-toi à accepter les blancs dans une conversation. Certaines personnes sont incapables de laisser un blanc car cela les met face à eux-mêmes. Cela aura en plus le mérite de développer ton écoute.

Chaque objectif requiert de faire un premier pas, alors lance-toi.

Ton corps et ton incarnation n’appartiennent qu’à toi. Prends les bonnes décisions pour TOI aujourd’hui.

Belle journée et prends soin de toi.

Récit et conseil de mars

Que faire quand rien ne va?

Au mois de février, je suis passée par une période un peu compliquée qui m’a amenée à faire une pause.

J’avais l’impression que chaque chose que je faisais n’était pas la bonne.

Soit je n’avais plus envie de faire ce que je faisais d’habitude, soit l’Univers me bloquait (problèmes techniques, modification d’agendas,…).

Au début, j’insistais en me disant qu’il fallait quand même que je fasse quelque chose. Je m’énervais parfois, contre moi-même surtout, j’ai beaucoup pleuré. Je m’en voulais à certains moments de ne pas comprendre ce que je faisais de mal.

Puis je me suis rappelée une chose essentielle : la bienveillance.

On parle souvent de bienveillance envers les autres. Mais ce que j’aime rappeler aux personnes que j’accompagne en séances est la bienveillance envers soi-même.

Etre bienveillant n’est pas uniquement se dire que nous sommes une bonne personne, que nous méritons d’être aimé.

C’est avant tout cesser d’être malveillant.

Ne plus se dire « je suis bête », « je suis une idiote », « mais pourquoi j’ai fait ça, c’est pas malin » et bien d’autres.

Tu ne te sens pas capable de dire du bien de toi, commence par arrêter de dire du mal de toi-même. Chaque jour, tu fais de ton mieux avec les cartes que tu as dans ta manche.

Commence par arrêter de dire du mal de toi et tu verras que ton environnement va changer. Car nous attirons ce que nous émettons.

A chaque instant, tu crées ta vie. Fais en sorte qu’elle sois belle.

Belle journée et prends soin de toi.

Bilan de février

Le moment de garder le cap ou de changer de route

En janvier, on prend parfois des décisions un peu rapides, sous le coup de la pression du début d’année. Une fois notre esprit habitué aux énergies de la nouvelle année et passé ce moment de ferveur, il est bon de se poser et de se demander si nous avons pris la bonne route (un peu comme lorsque nous avons programmé notre GPS et que nous voulons nous assurer d’être dans la bonne direction).

Pour cela, je t’invite à te réserver 30 minutes à une heure pour toi et à t’isoler dans un endroit confortable.

Prends un cahier (ou un morceau de papier) et un stylo. Tu vas t’en servir un peu plus tard. Mets-les de côté. Prends 3 grandes inspirations et ferme les yeux.

Visualise toi en fin d’année, juste avant les fêtes :

  • Où es-tu?
  • Que fais-tu?
  • Avec qui es-tu?

Ouvre les yeux et écris ce que tu viens de vivre. Une fois écris, relis ce que tu viens d’écrire :

Est-ce que cette histoire te convient?

  • Si oui, demande toi si tu es sur la bonne route pour atteindre ce que tu visualises.
  • Si ce n’est pas le cas, demande toi quel changement tu dois opérer dans ta vie pour modifier cette histoire et faire qu’elle te convienne.

A chaque instant, ta vie t’appartient. Fais en sorte de prendre la bonne route.

Belle journée et prends soin de toi.